vendredi 28 août 2009

The preface...is not a preface...

Pour ceux qui auraient manqué les cours de littérature de Mr Vanderagheu (qu'il me pardonne pour l'orthographe), sachez qu'il est un concept que je qualifirais de postmétaphysico-philosophique très novateur sur les grandes oeuvres qui veut que le préface n'en soit pas un, et comme le veut ce principe, en effet ce préface...n'est pas un préface (à dire la machoire crispé, en coiffant sa mèche). Cependant, ici il n'est nulle question de grande oeuvre et il n'y a pas vraiment lieu de philosopher sur la légitimité du titre de préface, simplement, un préface prépare le lecteur à ce qu'il est sur le point de lire, il porte un regard postérieur à la lecture de l'oeuvre, sous entendu une oeuvre finie, ainsi, ne sachant pas moi même à quoi m'attendre et n'ayant pas moi même lu cette oeuvre qui est loin d'être finie, je ne peux qualifier ce premier article de préface, et c'est une joie pour moi de le dédier à notre illustre Stéphane, dont les références littéraires scato-pornographiques me manqueront beaucoup.

Il m' a donc semblé tout naturel et très approprié de commencer ce blog de cette façon, sans vous préparer à quoi que ce soit, afin qu'au fur et à mesure que vous le parcourirez, vous puissiez être dans le même état d'éveil et de curiosité que moi face à tout ce qui m'attend et à quoi je ne m'attends pas. Aussi commencer par un article absolument vide de fond et dont la portance intelectuelle avoisine le zéro, un article qui, du haut de sa vingtaine de ligne, n'apporte aucune réelle information, une façon de dire "get used to it" comme on dit ici, car même si les prochains articles se voudront plus intéressants, ou du moins plus consistants en informations concernant mon séjour, il y a de fortes chances pour qu'ils suivent ce modèle, à savoir des articles longs pour pas grand chose mais don't worry, tout - tout - tout, vous saurez tout sur mon séjour! (vous n'avez plus rien à apprendre sur le zizi...)

Citation du jour: "Moi j'fais dans l'sonore et l'dégueulasse, c'est mon style." Marv, Sin City

3 commentaires:

  1. Lisant un peu trop vite, j'ai transformé cette phrase "afin qu'au fur et à mesure que vous le parcourirez, vous puissiez", en "afin qu'au fur et à mesure vous le pourrissiez"...
    Alors, tu l'aimes, mon lapsus ?
    [Mr:jk]

    RépondreSupprimer
  2. On dit UNE préface... x_X :p

    RépondreSupprimer
  3. @Emeric: J'adoooore, allez y, pourissez le autant qu'il vous plaira XD

    @Jérôme: Hmmm.......ouais, mais n fait c'st ma touch "" qui déconn >____>' ...

    RépondreSupprimer